Les professionnels de la santé sont les piliers de notre système de soins, leur engagement quotidien est une démonstration éloquente de leur dévouement envers le bien-être de la société. Ils font face à des défis et ont besoin de soutien, de repos et de temps pour eux-mêmes.
Nous avons à cœur de soutenir nos soignants et croyons fermement que leurs voix doivent être entendues.
AUGUSTIN
NASSIMA
MARIE
OLIVIA
– Pourquoi infirmier ?
-Dès le début, j’ai su que je voulais travailler dans le domaine de la santé. Après ma première année en médecine et en raison d’une forte sélection, je me suis orientée vers le métier d’infirmier, où j’exerce depuis 5 ans.
– Pourquoi ce choix de spécialité ?
– Je recherchais un service de haute technicité. Après mon diplôme, j’ai choisi le service de réanimation chirurgicale cardiaque pédiatrique.
– Que fait un infirmier dans le service comme le vôtre ?
– Il assure une surveillance constante des signes vitaux de l’enfant, réalise l’administration des médicaments, réalise des bilans sanguins, met en place des traitements conformément aux prescriptions médicales, établit un contact avec l’enfant et évalue son état cutané et accueil les familles après l’installation de l’enfant en réanimation.
– Selon vous quelle est la chose la plus importante dans votre métier ?
– Savoir maitriser ses émotions. Exemple : garder son sang-froid lorsque l’enfant se déstabilise.
– Quelle est votre plus grande peur ?
– Faire une erreur. Dans notre métier, une erreur peut avoir des conséquences graves. Cela concerne autant la surveillance médicamenteuse que l’administration des injections.
– Comment se passe votre journée de travail ?
– Je travaille en 12 heures. Ma journée débute par des transmissions orales sur les patients entre l’équipe de nuit et de jour. Ensuite, je procède à tour de sécurité des chambres pour vérifier les médicaments et leur débit, je réalise les toilettes ou les soins d’hygiène en binôme avec l’auxiliaire en veillant au confort des patients. Je réalise également les transferts de mes patients, puis prépare les chambres pour les retours de blocs opératoires. Puis j’accueille les patients en retour de bloc opératoire en mettant en place les différents appareils de surveillance et en les installant. J’accueille les parents, surveille les autres patients et effectue la transmission d’informations à l’équipe qui prend le relais.
– Est-ce difficile de travailler la nuit ?
– Le rythme est différent, le travail n’est pas le même et il est crucial de rester constamment vigilant.
– Comment a changé le travail d’un IDE ces dernières années ?
– Le COVID a provoqué une fuite des infirmiers. Ce qui fait qu’il y a un manque d’effectif. En plus de cela, pour certains professionnels, leur bien-être personnel prime sur leur métier. Ce qui les amène à ne pas rester dans le même service et à opter pour des emplois flexibles tels que l’intérim ou les vacations.
– Aujourd’hui on parle beaucoup des infirmiers en souffrance psychologique. A votre avis comment remédier à cela ?
– Selon moi, il est nécessaire de revoir les salaires, de développer l’accès aux soins mentaux et physiques pour les professionnels de santé, de remédier au manque de respect envers le personnel médical et paramédical de la part des patients et de leur famille, de valoriser davantage la profession qui ne se limite plus à une simple vocation, de fidéliser les professionnels afin qu’ils restent au sein d’un même service, et enfin, de repenser l’organisation du travail pour d’éviter la surcharge de tâches.
– Comment le travail vous affecte psychologiquement ? Arrive-t-il que les émotions prennent le dessus ?
– Depuis que je pratique, non. Je sépare la vie professionnelle et la vie privé.
– Depuis que vous exercez, n’y a-t-il jamais eu une envie de partir ? Si oui, comment vous avez fait pour redonner du sens à votre vocation ?
– Depuis que j’exerce, je n’ai jamais ressenti une telle envie. Cependant, je suis conscient qu’il y a un surplus de travail dans d’autres services, ce qui entraine une grande fatigue chez bon nombre de mes collègues, et cela conduit certains à quitter leur poste. Dans tous les cas, je pense qu’il ne faut pas rester si cette envie nous traverse l’esprit. Il est important d’essayer de changer de service ou de partir.
– Selon vous quelles qualités doit avoir un IDE ?
– Il doit savoir gérer les émotions, travailler en équipe et rester humble.
– Qu’est-ce qui vous procure de la satisfaction dans votre travail ?
– Je ressens une satisfaction à la fin de ma journée de travail lorsque j’ai réussi à prendre en charge mes jeunes patients en donnant le meilleur de moi-même pour eux.
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– Pourquoi infirmier ?
– Mon projet professionnel était de devenir médecin, gynécologue ou pédiatre. Cependant, en raison de la grande sélectivité des concours, ma candidature n’a pas été acceptée, et l’on m’a proposé de poursuivre des études en soins infirmiers. J’ai alors pensé que cela pourrait être une bonne alternative, car prendre soin des autres était une véritable vocation pour moi.
– Pourquoi ce choix de spécialité ?
– De nature dynamique avec un fort sens de l’humanité, choisir le service de réanimation était pour moi une évidence. C’est un service de haute technicité, de stimulation constante, et souvent la dernière chance pour les patients. Je me suis immédiatement senti à ma place.
– Que fait un.e infirmièr.e dans le service comme le vôtre ?
– En binôme avec l’aide-soignant, et avec l’appui du médecin, il assure la prise en charge globale du patient, des soins techniques comme l’utilisation de machines respiratoires et autres équipements aux soins tels que la toilette, la réalisation des gros pansements (imputations ou autres), la distribution des médicaments, et la surveillance constante de l’état du patient. En ajoutant à cela les relations avec la famille du patient afin de les préparer psychologiquement.
J’ai pu développer des amitiés très enrichissantes avec mes collègues, nous étions solidaires, nous nous entraidions, et j’en garde un très bon souvenir.
– Selon vous quelle est la chose la plus importante dans le métier de IDE Réanimation ?
– Le plus important réside dans l’aspect humain, la communication verbale et non verbale avec le patient, la capacité à interagir avec lui, même s’il est dans le coma; de savoir se remettre en question et de travailler en équipe, de gérer le stress et de faire preuve d’un sens aigu de la précision.
– Quelles qualités doit-il avoir ?
– Écoute active, sens de l’organisation, capacité à gérer ses émotions dans les situations dramatiques, prise de décision (par exemple, savoir décider collectivement d’arrêter les efforts pour sauver un patient si nécessaire). Sens de l’humanité, capacité à s’entraider et à travailler en collaboration. En moyenne, l’expérience en réanimation est de 4 à 5 ans pour un.e infirmièr.e en raison du caractère extrêmement dynamique et épuisant sur le plan mental, mais c’est une expérience très enrichissante où l’on apprend chaque jour.
– Quelle était votre plus grande peur ?
– Je n’avais aucune peur. De nature très organisée, j’ai veillé à prendre soin de mes patients avec une grande rigueur pour éviter toute erreur qui pourrait être fatale.
– Qu’est-ce qui vous donnait de la satisfaction dans votre travail ?
– Outre les bons souvenirs de mes collègues, le travail d’équipe et la satisfaction d’avoir pris soin des patients, je garde également un excellent souvenir des étudiants que j’ai accompagnés et préparés en tant que référente en réanimation.
– Que pensez-vous de la nouvelle réforme pour les infirmièr(e)s ?
– C’est triste car il y a moins de pratique, un accès moins sélectif, ce qui fait que les nouveaux pratiquent moins bien. Cependant, cela permet d’avoir plus de monde dans le métier.
– Aujourd’hui on parle beaucoup des infirmiers en souffrance psychologique. A votre avis comment remédier à cela ?
– Selon moi, il est nécessaire de revoir notre système de santé qui tend à faire davantage avec moins, en raison des quotas imposés. Les rendements élevés déshumanisent le travail, la fatigue est constante, et finalement, nous ne pouvions plus continuer. Nous étions constamment en mouvement, sans même avoir le temps de manger. Dans ces conditions, où la précision dans la délivrance des médicaments est essentielle et où nous mettons en jeu la vie de nos patients ainsi que nos diplômes, nous sommes poussés à aller de plus en plus vite.
Il est temps de réfléchir à conditions de travail et à la santé mentale et physique de nos professionnels de la santé. Personnellement, j’ai à cœur de les soutenir dans cette démarche, car mon expérience me permet de bien comprendre leur souffrance.
– Pourquoi êtes-vous partie ? N’avez-vous jamais ressenti de regret ?
– J’ai dû faire une pause d’un an pour des raisons familiales. J’ai ensuite essayé de reprendre, mais je n’ai pas été acceptée. On m’a dit que j’étais trop coûteuse pour l’administration de l’établissement, et ils donnaient la préférence aux jeunes diplômés. J’ai été découragée par cette injustice et je me suis dit : S’ils ne veulent pas de moi, alors je vais changer de métier ! C’est ainsi que je me suis orientée vers la sophrologie, que j’exerce depuis 2018 et je ne regrette pas.
– Pourquoi la sophrologie ? Qu’est-ce qu’elle vous procure ?
– Pour moi, la sophrologie représente un art de vivre, un moyen de se reconnecter à soi-même, de prendre le contrôle de son corps pour atteindre une détente à la fois physique et mentale. En conséquence, elle offre une projection positive vers l’avenir. C’est un véritable plaisir pour moi de contribuer au bien-être des autres, car je crois fermement que le soin mental est aussi essentiel que le soin physique. Cette conviction résonne avec mon premier métier en tant qu’infirmière.
– Quel a été votre parcours pour devenir aide-soignante ?
– J’ai voulu travailler dans le commerce et ai suivi des études supérieures dans une école polytechnique de mon pays natal. En arrivant en France, je n’ai pas réussi à valider mon diplôme. Par conséquent, j’ai travaillé dans le nettoyage et la livraison en tant qu’indépendante. J’ai ensuite décidé d’embrasser le métier d’auxiliaire de vie, que j’exerce depuis 8 ans. Cette année, je suis devenue aide-soignante.
– À quel rythme et où travaillez-vous ?
– En ce moment, je travaille quatre nuits par semaine dans un EHPAD, et deux jours par semaine, je m’occupe d’une personne âgée dépendante à domicile en assurant sa toilette et la prise de repas.
– Qu’est-ce qui vous a motivé à travailler dans le soin ?
– Je n’ai pas peur de travailler, mais dans le nettoyage, c’est le contact humain qui m’a manqué. J’apprécie aider les autres, que ce soit en les aidant à sortir, en surveillant leur état de santé, ou simplement en discutant avec eux pour savoir comment ils se sentent. Il m’arrive de les trouver tourmentés le matin, souvent après une visite de leurs enfants. Dans ces moments-là, j’essaie de les apaiser, de leur remonter le moral, et je leur propose un jus de fruit, car il est important de les apaiser avant un examen.
– Pourquoi travailler la nuit ?
– En partie pour le salaire, mais aussi parce qu’en général, c’est plus calme lorsque les résidents dorment. Cependant, il est crucial de rester vigilant.
– Selon vous quelle est la chose la plus importante dans votre métier ?
– Aimer s’occuper des autres, avoir une rigueur, de la bienveillance et de l’empathie, sans cela, c’est impossible.
– Quelles sont vos principales responsabilités en tant qu’aide-soignante ?
– C’est de leur bien-être global dont je suis responsable. Je veille à ce qu’ils aient une alimentation adéquate, restent hydratés, prennent leurs médicaments et se brossent les dents. J’encourage l’autonomie en les incitant à se laver le visage, prendre une douche et s’habiller autant qu’ils le peuvent. À travers diverses tâches telles que le réveil, la préparation d’un petit-déjeuner adapté à leur régime, l’hygiène, la refonte des lits et la gestion des repas, nous leur apportons un soutien tant physique que moral.
– Quelle est votre plus grande peur ?
– J’ai peur que la personne tombe, surtout si cela est dû à ma faute.
– Comment gérez vous le stress et les situations difficiles dans votre travail au quotidien ?
– Je ne suis jamais stressée.
– Comment le travail vous affecte psychologiquement ?
– Le plus difficile, c’est d’apprendre le décès d’un résident, parfois cela touche plus particulièrement. C’est pourquoi il ne faut pas trop s’attacher aux gens pour se préserver.
– Pouvez-vous partager une expérience où vous avez dû vous adapter à des changements soudains dans l’environnement de travail ou dans les besoins des patients ?
– Récemment, j’ai dû remplacer ma collègue qui devait prendre le relais à domicile auprès d’une personne dépendante, mais elle a eu un impératif urgent. Je n’ai pas pu laisser la personne seule, donc je suis resté près d’elle.
– Dans quelles situations avez-vous été confrontée à des dilemmes éthiques dans votre travail, et comment les avez-vous résolus ?
– Une fois sur deux, je travaille de nuit dans l’unité Alzheimer de l’EHPAD. Il faut savoir que ce sont des personnes souvent surexcitées, donc il est très difficile de les faire se coucher. C’est pourquoi je les laisse traîner, j’attends qu’ils se fatiguent pour les mettre au lit plus facilement.
– Quelles sont les principales difficultés auxquelles vous faites face en tant qu’aide-soignante au quotidien ?
– Le plus compliqué, c’est de lever une personne ; nous ne sommes pas en marbre. À domicile, on peut avoir un renfort pour manipuler une personne raide, mais pas à l’EHPAD.
– Si vous pouviez changer une chose dans le système de soins de santé pour améliorer la vie des aides-soignants, quelle serait-elle ?
– En tant qu’aide-soignante en EHPAD, j’aimerais bien suivre régulièrement une personne afin de surveiller l’évolution de son état de santé au fil des jours, en observant les effets des médicaments, les modulations et les changements. Sinon, il est impossible d’assurer une bonne prise en charge.
– Quelles initiatives ou soutiens supplémentaires pourraient être mis en place pour encourager davantage de personnes à rester dans le métier d’aide-soignante ?
– Il est urgent d’améliorer la coordination, et pour cela, il faut compléter les équipes. Les statistiques indiquent qu’en France, on a 6 soignants pour 10 résidents, or nous sommes très, très loin de ces chiffres…
– En conclusion, qu’est-ce qui vous motive à rester dans le domaine des soins de santé en tant qu’aide-soignante ?
– Être soignant est un métier qui a une grande valeur à mes yeux, car c’est donner mon âme à quelqu’un.
Nous sommes là pour vous. En partenariat avec des experts locaux en bien-être mental et physique, notre objectif est de vous soutenir pleinement. Nous voulons vous aider à préserver votre vocation de prendre soin des autres.
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La méditation est une pratique puissante qui peut grandement contribuer à votre bien-être. En prenant seulement quelques minutes chaque jour pour méditer, vous pouvez bénéficier de nombreux avantages pour votre équilibre émotionnel et mental. La méditation favorise la détente, réduit le stress et cultive la pleine conscience. Elle vous permet de vous recentrer, de calmer votre esprit et de vous connecter avec votre être intérieur. En pratiquant régulièrement la méditation, vous pouvez améliorer votre gestion des émotions, renforcer votre résilience face aux défis de la vie quotidienne et trouver un état de calme intérieur.
L’activité physique régulière est essentielle pour maintenir une bonne santé physique et mentale. Des études montrent qu’elle réduit les symptômes de dépression et d’anxiété, améliore l’estime de soi et favorise un sommeil de meilleure qualité. En libérant des endorphines, l’exercice procure une sensation de bien-être, plus d’énergie et une humeur positive. Faites de l’exercice régulièrement pour bénéficier de ces bienfaits sur votre santé globale. Cela peut inclure des activités telles que la marche rapide, la course, la natation, le vélo ou toute autre activité qui vous plaît et vous fait bouger.
Une alimentation équilibrée, comprenant des aliments frais tels que les fruits, les légumes, les protéines maigres et les grains entiers, est essentielle pour maintenir votre bien-être physique et mental. Ces aliments fournissent des nutriments essentiels, favorisent une meilleure énergie, une concentration accrue et un meilleur état d’esprit. Par exemple, les fruits et légumes riches en vitamines et en antioxydants soutiennent la santé globale, tandis que les protéines maigres aident à renforcer les muscles. En privilégiant une alimentation équilibrée, vous pouvez optimiser votre santé et votre bien-être.
Maintenir des relations sociales positives et participer à des activités sociales enrichissantes sont des éléments essentiels pour notre bien-être émotionnel et mental. Passer du temps avec nos proches, rejoindre des groupes d’intérêt commun et participer à des événements sociaux sont autant de moyens de cultiver des liens positifs et de renforcer notre sentiment d’appartenance et de soutien. Cela peut prendre la forme de clubs de lecture, de groupes de randonnée, de cours de danse ou d’ateliers d’art. En investissant dans nos relations sociales, nous nourrissons notre bien-être émotionnel et favorisons notre sentiment de connexion avec les autres.
Les activités créatives, comme la peinture, l’écriture, la musique ou la danse, favorisent l’expression de soi et le bien-être émotionnel. Elles offrent un espace pour libérer votre créativité et exprimer vos émotions de manière unique. Que ce soit en peignant sur une toile, en écrivant dans un journal, en jouant d’un instrument ou en dansant, ces activités stimulent votre esprit et vous permettent de vous connecter à vous-même de manière profonde et satisfaisante. Intégrez ces moments d’activités créatives dans votre routine pour vous détendre, réduire le stress et nourrir votre bien-être émotionnel.
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